mardi 20 décembre 2011
vendredi 16 décembre 2011
Trainer en pyj, les enfants adorent ça. Curieusement, dans d'autres circonstances, mon jugement était négatif. J'ai trainé en pyj beaucoup dans ma jeunesse, et je ne trouvais pas cela très bien, mais c'était des jours de flemmes (et d'hiver, souvent, où l'on n'a pas envie de sortir).
Puis quand j'ai renoncé à la flemme, je n'ai plus trainé, plus du tout.
J'ai donc trouvé nul et lamentable de trainer en pyj.
Et maintenant quand je vois les enfants certains week end, ça mer evient : comme j'aimais ça, comme je me sentais bien, entouré, au chaud...
Puis quand j'ai renoncé à la flemme, je n'ai plus trainé, plus du tout.
J'ai donc trouvé nul et lamentable de trainer en pyj.
Et maintenant quand je vois les enfants certains week end, ça mer evient : comme j'aimais ça, comme je me sentais bien, entouré, au chaud...
Je me souviens quand nous habitions dans un village. Au bout d'un village, un chemin. Je prenais ce chemin. Marchais au milieu de champs secs et désolés. On voyait des puits et des pompes, l'eau devait être cherchée très loin.
Tout au bout du chemin, après avoir passé plusieurs propriétés pas très chics mais confortables, on arrivait à la mer. Pour l'atteindre, il fallait descendre par les rochers, et tout en bas, mais vraiment difficile d'atteinte, il y avait cette petite crique.
Le genre d'endroit où une femme ne va pas seule, sauf si elle sait se battre : il y a des fous partout.
Et puis j'avais les enfants avec moi et pas facile pour leur faire descendre els rochers.
je crois y avoir été une fois, une seule fois, avec lui.
Pas mal, mais que de complication pour juste un pique nique et une baignade.
Il aurait fallu pouvoir s'y transporter sans mal, d'un geste....
Tout au bout du chemin, après avoir passé plusieurs propriétés pas très chics mais confortables, on arrivait à la mer. Pour l'atteindre, il fallait descendre par les rochers, et tout en bas, mais vraiment difficile d'atteinte, il y avait cette petite crique.
Le genre d'endroit où une femme ne va pas seule, sauf si elle sait se battre : il y a des fous partout.
Et puis j'avais les enfants avec moi et pas facile pour leur faire descendre els rochers.
je crois y avoir été une fois, une seule fois, avec lui.
Pas mal, mais que de complication pour juste un pique nique et une baignade.
Il aurait fallu pouvoir s'y transporter sans mal, d'un geste....
dimanche 11 décembre 2011
Les choses s'arrangent de façon très notable si je change mon attitude et c'est normal.
Si je me laisse aller à ma mauvaise humeur il ne parvient pas à la supporter. Ce qui équivaudrait à me rassurer, me réconforter. Il est p´reférable que j'étale des doutes ; les doutes, ou quand on se remt en cause, c'est moins désagréable et l'autre a plus tendance à réaguir, à rassurer, que lorsque je me emts à crier et raler.
C'est normal. Mais énervant.
Si je me laisse aller à ma mauvaise humeur il ne parvient pas à la supporter. Ce qui équivaudrait à me rassurer, me réconforter. Il est p´reférable que j'étale des doutes ; les doutes, ou quand on se remt en cause, c'est moins désagréable et l'autre a plus tendance à réaguir, à rassurer, que lorsque je me emts à crier et raler.
C'est normal. Mais énervant.
jeudi 24 novembre 2011
dimanche 8 mai 2011
D'un côté, oui. De l'autre, il a tendance à me répéter certaines choses et ça m'agace. Comme un père qui met en garde ses enfants. Ça m'agace car ça m'infantilise, mais, hum ,je fais un peu pareil avec lui... Nous sommes très différents. On ne réagit pas du tout pareil. Parfois je ne le comprends pas du tout.
Alors il me dit : Bon, tu penses à faire ça, hein ? (et ça m'énerve) Et il ajoute tout de suite après (pendant que je rassemble ma fureur) : mais tu fais comme tu veux, hein.
Dernièrement, il avait pris la manie de me dire : Bravo ! Quand je faisais un truc et là j'ai explosé. je sais que c'est le truc de son boulot et qu'il a fait de gros efforts pour gérer son équipe en positivant, donc en adoptant des méthodes de management positive (donc ilf aut féliciter ses collaborateurs) mais je lui ai dit que je n'étais pas un membre de sa team qui a réussi un projet...
mais c'est son caractère. Moi, je suis agacée des trucs qu'il oublie, il n'oublie pas tout mais je ne sais pas ce qu'il va oublier et je suis parfois très tendue avec lui.
En fait, c'est bizarre : comme je vis avec lui, je veux partager des infos ou décisions avec lui (mais je ne l'ai aps toujours fait) et là on a parfois du mal à communiquer. Mais si je ne lui dis rien, si je mène ma vie sans lui dire rien, comme si j'étais seule, il est cool.
Il faut dire qu'il vient d'une famille où le déficit en communication est fort, au moins avec lui. Il ne dit rien à sa mère et elle non plus. Et aprfois, entre membre de la famille qui ont une relation convenable, ils ne se disent pas des trucs qui me semble évidents. Exemple : personne ne sait ce que la cousine des efnants va faire comme étude après le bac ni où. La mère de Jérôme ne pose pas la qeustion à sa fille (par orgueil, elle veut que sa fille lui en parle, elle se la joue je ne veux pas me mêler). la plus jeune soeur ne pose pas la question à sa soeur pour ne pas doubler sa mère (mais si sa soeur lui en parle elle va appeler sa mère aussi sec). Jérôme n'en parle pas, il me dit : ah non, moi ce genre de question ça me dépasse, mais toi, appelle si tu veux.
D'un autre côté, dans ma famille, on parle tout le temps et mais on ne dit rien.
Je ne sais pas ce qui est le mieux.
samedi 22 janvier 2011
dimanche 16 janvier 2011
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